Le plaisir pris aux représentations violentes et cruelles dans la fiction policière
Il s’agit ici d’explorer le plaisir pris à la lecture des romans policiers, lecture qui implique la participation du lecteur à des représentations violentes et cruelles. Dans son récit autobiographique Les Mots, Jean-Paul Sartre déclare en conclusion d’un passage consacré à ce qu’il appelle les «vra...
Autor principal: | |
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Formato: | article |
Idioma: | fra |
Publicado em: |
2016
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Assuntos: | |
Texto completo: | http://hdl.handle.net/10400.12/4855 |
País: | Portugal |
Oai: | oai:repositorio.ispa.pt:10400.12/4855 |
Resumo: | Il s’agit ici d’explorer le plaisir pris à la lecture des romans policiers, lecture qui implique la participation du lecteur à des représentations violentes et cruelles. Dans son récit autobiographique Les Mots, Jean-Paul Sartre déclare en conclusion d’un passage consacré à ce qu’il appelle les «vraies lectures de son enfance» – ces lectures lui sont données par les livres d’aventures et les magazines pour enfants, il les oppose aux lectures savantes –: «Cette double vie n’a jamais cessé: aujourd’hui encore, je lis plus volontiers les “Série Noire” que Wittgenstein». |
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