Resumo: | La postérité d’une œuvre littéraire se mesure en grande partie par le nombre de ses traductions et Madame Bovary de Flaubert, qui a connu onze traductions et retraductions au Portugal, entre 1881 et 2016, est, à ce titre, exemplaire. Certaines de ces traductions ont connu une fortune évidente comme celle de João Pedro de Andrade publiée une première fois en 1960, puis reprise successivement par trois éditeurs jusqu’en 2017. Cet article, après une présentation des traducteurs, se propose de comparer leurs traductions du roman de Flaubert publiées depuis 1960. Nous nous attacherons tout particulièrement à des difficultés sur le plan linguis- tique ou culturel qui ont donné lieu à des notes de traductions.
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